Wedding Story : Elina & Raphaël

En ce qui concerne les préparatifs, nous avons commencé avec un obstacle de taille puisque nous vivions à ce moment là en Australie, à Sydney. Après l’annonce à mes parents (via Skype faute de mieux), nous les avons missionnés pour les recherches de prestataires (merci à eux, ils ont été plus qu’au top !). Nous avons ainsi bloqué le lieu qui remplissait tous nos critères : le budget, le style et l’hébergement possible pour les proches. Après quelques devis, nous avons également réservé le traiteur. Les deux choses qui nous paraissaient les plus importantes étaient faites.

Pour les photos, nous avons sollicité Noémie, via son site loeildenoemie.com et ce serait un euphémisme de dire que nous sommes contents de l’avoir fait ; son professionnalisme pour la préparation du mariage, sa discrétion pendant l’évènement ainsi que la rapidité avec laquelle elle a travaillé, sans parler du rendu, tout était au delà de nos attentes ! Sans oublier le dépannage d’un ukulélé à la dernière minute ! 😉

En parallèle, Raphaël prenait mes mesures (approximatives…) pour que Candice réalise ma robe (la partie la plus fun pour moi !!), à Londres ! (Ouais, on est comme ça nous, CITOYEN DU MONDE 😉

Il a fallu attendre mai, lorsque je suis rentrée en France, pour accélérer les préparatifs.

Raphaël, ce petit « chanceux » est resté en Australie pour une compétition et ne m’a rejoint que deux mois et demi plus tard !

A moi les rendez vous avec les fleuristes, les confiseurs, les prestataires de matos en tout genre, les musiciens, la mairie et surtout… à moi les tutos de déco ! Car oui, m’imaginant que trois moi c’était hyper top niveau timing, j’ai entrepris de faire la déco moi-même : me voilà designer, couturière, tapissière, et même élève de primaire : l’association colle blanche, eau, papier n’a plus de secret pour moi désormais ! Quant à Raphaël, bien que frustré de n’avoir pu imiter son agent secret préféré, je dois avouer qu’il maîtrise le pisto-colle comme personne, et m’a aidé dès son arrivée ! (je sais, le futur mari parfait 😉 )

Nous n’étions pas vraiment stressés par les préparatifs, (faut dire que mon planning quotidien de psychorigide, qui se soigne hein ! nous a quand même bien aidé), bien que je dois confesser que la fatigue nous a valu quelques larmes (… bon ok, quand je dis nous….).

Au final, le jour J était au-delà de ce que nous avions imaginé et ça aussi, ça nous a tiré de jolies larmichettes.